samedi 18 août 2001

Papier d'Arménie, au quotidien.

Voici la méthode optimale pour consumer le Papier d'Arménie chez soi. 

1. Détachez une lamelle du carnet.

2. Pliez-la en accordéon.
3. Déposez-la dans une coupelle ou un brûleur.

  1. Allumez en veillant à obtenir une combustion sans flamme.

Les analyses effectuées donnent des résultats satisfaisants pour la santé des consommateurs respectant nos conseils d'utilisation : il convient de brûler une lamelle à la fois, trois ou quatre fois par semaine et d'aérer régulièrement l'habitation.

Soucieux de la santé et du bien-être de ses consommateurs, Papier d’Arménie a fait appel à deux laboratoires d’analyses accrédités et reconnus ainsi qu’à des experts scientifiques de renommée en toxicologie et en qualité de l’air intérieur.
Cela a permis d’obtenir la meilleure évaluation possible du produit et de travailler, si nécessaire, à son amélioration.

MODE D'EMPLOI
Détacher une lamelle, la plier en forme d'accordéon, la tenir à la main ou la poser sur une soucoupe, rallumer en soufflant légèrement pour éviter de l'enflammer, car elle doit se consumer lentement.
LE PAPIER D'ARMÉNIE TRIPLE, assainissant naturel et efficace, purifie et parfume l'air ambiant. Il enlève toute mauvaise odeur de cuisine, de tabac, d'animaux etc. Particulièrement employé au moment des épidémies de grippe ou par temps humide. Il est utile tout au long de l'année pour assainir la maison et la rendre plus agréable.
Très apprécié dans les collectivités, les chambres d'hôtel, les cellules de prison et les locaux fermés, le PAPIER D'ARMÉNIE TRIPLE purifie et assainit l'air des chambres des malades dont on redoute d'ouvrir les fenêtres.
Le Papier d'Arménie
Papier d'Arménie et brûleur
Le Papier d'Arménie est désigné pour caractériser un carnet composé de trente six lamelles prédécoupées soit douze feuilles de trois divisions de papier parfumés à la résine de Styrax sur lesquelles sont imprimés la marque, la mention triple et la signature de A. PONSOT.
Histoire
A la fin du XIXe siècle, Auguste Ponsot découvre que les arméniens font brûler du Benjoin pour parfumer et désinfecter leurs maisons. Auguste va « adopter » cette coutume en France avec Henri Rivier, pharmacien. Ce dernier dissout le Benjoin dans de l'alcool à 90º, mélangé avec un support de papier buvard. L'« alchimie » qu'a réalisée Henri Rivier va se révélée très utile : le papier d'Arménie est couronné de succès pendant l'exposition d'hygiène de 1888 et de 1889
Il est produit à Montrouge depuis 1885, sa formule secrète reste inchangée.

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