Fermeture du chalet de la plage

Drôle d'été ! Le démontage des balançoires du club de plage a déjà commencé et le marchand de glace a refermé son volet.

Vous aussi, vos obligations personnelles ou professionnel- les et la rentrée des classes de vos chers petits monstres, vous font songer au retour ! Il va falloir refermer définitivement votre résidence secondaire... C'est le moment de visi- ter une dernière fois votre droguiste, dont voici les précieux conseils :

Rentrée du salon de jardin : Avant de rentrer vos meubles de jardin en résine de synthèse, peints ou laqués, n'oubliez pas de bien les nettoyer avec le RENOVATEUR MEUBLES DE JARDIN. Il ne ternit pas les matériaux, n'altère pas les couleurs, respecte les fini- tions brillantes et protège vos meubles lors de leur stockage en hiver. Il permet d'éliminer les tâches rebelles telles les déjections d'oiseaux en appliquant le produit directement sur la tâche et en laissant agir quelques minutes ! Pour vos meubles en teck ou assimilés, il est bon de repasser de l'ESTILAN TECK-OIL, véritable huile régénérante pour le teck, avant de les rentrer pour l'hiver. Ils conserveront plus longtemps leur beauté d'origine.

Imperméabilisation des textiles extérieurs, coussins, parasols : L'imperméabilisant anti-taches spécial textiles d'Avel garantira une tenue et une protection de vos textiles contre l'eau et les taches... Sans silicone, cet aérosol peut être utilisé sur les cuirs. La Droguerie montoise propose d'autres solutions par trempage.

Insecticides : La fermeture de votre maison ou appartement n'indique pas forcément que celle-ci est ou restera inhabitée... K-Ocide propose une gamme novatrice d'insecticides, très technique, active plus de 6 mois, s'appuyant sur de nouvelles molécules non toxiques pour l'homme. Ces laques insecticides sont déclinées en aérosols anti-araignées, anti-fourmis et puces, anti-guêpes, anti-punaises, anti-mouches et anti-moustiques. Pour éviter des colonies d'araignées à votre retour l'année prochaine, il suffit de vaporiser du KAPO BLACK ARAIGNÉES sur les angles de murs, plafonds, plinthes ainsi que tours de portes et fenêtres. Cet autre grand classique en aérosol s'utilise dans toutes les positions avec une portée jusqu'à 3 mètres, provoque un effet répulsif grâce à sa formule aux extraits de marron d'Inde. Il existe aussi un produit liquide à large spectre insecticide (cafards, araignées et tous insectes rampants) à pulvériser dont l'action rémanente est de très longue durée... Une cassette insecticide KAPO dans chaque pièce évitera toute installation d'insectes volants après votre départ. Le grand modèle correspond à une pièce de 15 à 20 m2... Pour le cas particulier des résidences ayant été infestées par des insectes et notamment les puces, il est bon de pratiquer à la fermeture un dernier usage de fumigène (au lindane ou pyrhètre), de fumigateur (gaz réactif par l'eau !) ou d'aérosols à diffusion continue (sans flamme) en guise de traitement de choc et préventif car il est très rare de détruire toutes les larves ; vous devrez rester attentif à toute réapparition de ce fléau à chaque saison.

Antimites : ll n'y a pas de saison pour ces dévoreurs de pulls en laine. Vous devez placer des produits efficaces, dits "permanents actifs" qui protègent sans tacher lainages, fourrures, tissus, tapis et vêtements pendant 6 mois : le papier accordéon (facile à intercaler entre les piles de linge et de pulls marin), les cassettes avec crochet (adaptées aux penderies), bois de cèdre, camphre en tablettes et les pastilles parfumées très faciles à utiliser car on les insère partout ! Elles remplacent avantageusement naphtaline et paradichlorobenzène interdits à la vente. En présence de mites, il est indispensable d'utiliser l'aérosol KAPO MITES & LARVES car il détruit mites et larves au coeur du linge, sans tacher...

Hors-gel : Malgré les températures actuelles et la douceur climatique permanente dans la région, par prudence, n'oubliez pas de mettre de l'antigel dans vos toilettes (n'oubliez pas la réserve si vous ne la purgez pas) et siphons. La Droguerie Montoise vous fait faire des économies en vous conseillant son alcool industriel à 95°, excellent anti-gel (rentrant dans la composition de beaucoup d'antigels colorés et dilués à l'eau !) à prix mini.

Anti-humidité : Rite annuel devenu incontournable, la mise en place dans chaque pièce du logement secondaire des absorbeurs d'humidité à base de chlorure de calcium est le garant d'une chute de l'humidité ambiante de votre logement, l'assainissant et le protègeant ainsi de la moisissure et d'une oxydation sournoise. Vous retirez la recharge d'1 kilogramme du sachet plastique qui la protège et vous la placez sur la plaque perforée de votre absorbeur (une passoire plastique posée sur un seau fera l'affaire et le brevet est libre de tout droit !). Voilà, c'est prêt ! Ne pas laisser de poussière blanche, qui aurait pû s'échapper du sac, sur le sol. Evitez les risques de déborde- ment en surchargeant vos absorbeurs car ils peuvent dégager plus de 3 litres d'eau. Pour les penderies, utilisez l'absorbeur à suspendre RUBSON... Les initiés pourront utiliser de la chaux vive, plus instable et comportant quelques risques... la chaux vive est vendue en sac de 5 kilogrammes.

Odeurs : Vous pouvez déposer des parfums d'ambiance longue durée comme les désodorisants à mèche, disponibles dans de nombreux parfums. Notre préférence se porte aussi sur le désodorisant ASEPTAIRE LIME, désinfectant aérien léger produit naturelle- ment avec les zestes de citron vert. ASEPTAIR émet une odeur très rafraîchissante, efficace pendant plusieurs mois, pour une pièce jusqu'à 30 m3. Placez-le n'importe où et laissez-vous pénétrer par cette délicieuse senteur que tout le monde aimera. Existe aussi en pamplemousse.

Graissage/protection des métaux : Protégez vos serrures en propulsant du LUBRISERRURES JELT à l'intérieur, Graissez les gonds et mécanismes avec de la graisse rose, de l'huile LUBRIFIANTE (TRANSYL, 3EN1 OU vaseline GEB) ou du lubrifiant à sec GEBFLON, empêchant leur réencrassement. Vous pouvez aussi protéger les surfaces métalliques en leur pulvérisant du WD40 : celui-ci dépose un film protecteur contre la rouille et la corrosion sur les bicyclettes, landaus, pièces en chromes, motos, hors-bords et outils...

L'électroménager : Utilisez le NETTOYANT RENOVATEUR POUR LAVE-VAISSELLE KALITT avant une longue période d'inactivité de votre machine car il permettra le détartrage et la dégraissage de celle-ci. Il existe un produit équivalent pour votre lave-linge, qui prolongera aussi sa durée de vie : le NETTOYANT RENO- VATEUR POUR LAVE-LINGE KALITT Ne l'oubliez pas !

Vous avez apprécié de nos produits et n'êtes pas sur de les trouver dans votre région : commandez-les nous ! Votre droguiste vous remercie pour votre fidélité et vous souhaite un bon retour... En espérant vous revoir au plus tôt !

Dégraissage des métaux, des alternatives au trichloréthyène

Dégraissage des métaux, des alternatives au trichloréthyène.

Cette activité est très répandue, notamment dans les entreprises de la métallurgie. L’emploi de solvants conduit à des expositions potentielles plus ou moins importantes, associées à un risque dépendant directement de la toxicité du produit employé. Cet article présente le contexte réglementaire et la meilleure démarche pour choisir les procédés et/ ou les produits les plus sûrs. 

De nombreuses entreprises sont confrontées à l’évolution de deux réglementations sur la limitation des rejets de COV (Composants Organiques Volatils) 1 et la prévention du risque chimique au travail. 

Le récent classement dans la catégorie des cancérogènes du trichloréthylène, maintenant visé par le décret CMR relatif aux produits classés Cancérogènes, Mutagènes et toxiques Jour la Reproduction, concerne de nombreux établissements. 

4 noter qu’en Allemagne, des cas de cancers du rein associés à l’exposition au trichloréthylène ont été reconnus comme d’origine professionnelle. 

Aujourd’hui, la très grande majorité des machines à dégraisser au « trichlo » ne satisfait pas à la réglementation Cov. Le jécret CMR préconise le remplacement de : :e solvant dès que cela est techniquement possible. 

Le solvant miracle n’existe pas 

Par quel solvant remplacer le trichlo ? À cette question fréquente, il n ‘y a pas de réponse unique. Le solvant universel n’existe pas. En effet plusieurs paramètres doivent être pris en compte pour déterminer :e choix : pouvoir dégraissant, vitesse i’ évaporation, volatilité, risque incendie-explosion, risque toxicologique, risque pour l’environnement. 

Aucun produit ne présente les caractéristiques optimales pour toutes les situations de travail. 

Une démarche globale est nécessaire 

Déterminer le cahier des charges 

Il doit préciser la nature du dégraissage. L’éventuelle suppression de l’opération, en évitant en amont de salir les pièces, doit être envisagée. 

L’étude des besoins et des choix possibles peut être réalisée avec un accompagnement technique de spécialistes. Le CETIM (Centre Technique des Industries Mécaniques ), par exemple, propose ce type de prestation. 

Envisager tous les choix possibles 

Pour les dégraissages en machine, le choix du produit et de la machine sont étroitement liés.

Je nombreux solvants sont possibles 1 priori, dont certains sont plus ou moins facilement inflammables. Dans la plupart des cas, le risque incendie-explosion peut cependant être maîtrisé par une bonne concepion, une maintenance et un entretien rigoureux les machines. 

D’autres techniques de dégraissage existent. Outre le dégraissage avec des lessives, assez répandu, il peut être fait appel à un « biofluide » contenant des agents biologiques qui digèrent les graisses. Le dégraissage au CO2 supercritique ( comprimé à 73 bars et chauffé à 31°C) est une alternative possible, intéressante en micromécanique et connectique, mais coûteuse. 

Valider la solution retenue 

Des essais prolongés sont le plus souvent nécessaires pour valider l’opportunité de chaque choix possible en appréciant tout particulièrement son efficacité technique. 

Assez souvent cette démarche de substitution conduit à revoir largement l’opération de dégraissage, tant au niveau des machines lue des procédures, Le coût d’investissement peut être important. 

CANCERS PROFESSIONNELS 

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Dans notre société, la perception des risques s’accroît. Pourtant le risque chimique est encore parmi les moins bien connus bien qu’il soit très médiatisé. Par contre, en entreprises, le décret CMR (Cancérogène Mutagène toxique pour la Reproduction) et la démarche d’évaluation concourent à une meilleure prise en compte du risque chimique. Il reste toutefois beaucoup à faire, notamment en terme d’information et de sensibilisation. L’Agence européenne pour la santé et la sécurité au travail a d’ailleurs retenu comme thème 2003, pour la semaine européenne de la sécurité, « les risques liés aux substances dangereuses au travail ». 

Parmi les nombreux produits présents dans ‘environnement professionnel, certains peuvent tre cancérigènes. Selon tous les experts, l’origine professionnelle des cancers est grandement sous-estimée. Ce constat est l’ailleurs confirmé par une récente étude de l’Institut de Veille Sanitaire. Le rôle des facteurs professionnels dans l’apparition des cancers est très souvent méconnu des médecins traitants dont la première préoccupation – et c’est lien normal – est la prise en charge thérapeutique. Les cancers d’origine professionnelle sont également largement ignorés en entreprises. 

De ce fait, la CRAM et les services interentreprises de santé au travail de la région veulent vous informer de cette réalité et vous aider dans votre politique de prévention. Dans le cadre de la semaine européenne qui se déroulera en France du 20 au 25 octobre 2003, nous organisons une réunion d’information à votre attention. Vous y êtes cordialement invité. 

L'aspirateur Dyson par James Dyson

Un inventeur doublé d'un designer ne se rencontre pas souvent. Quand il se met à vouloir concurrencer les ténors de l'industrie, il devient carrément rare. S'il y parvient, il est sujet à la dysonite aiguë. Capito ? Voici l'arrêt sur marque spécial James Dyson, le créateur de l'aspirateur qui tient ses promesses… 

http://www.dyson.fr/

Sur l'an 2000, 340 millions d'euros de chiffre d'affaires. 2000 employés dont 350 ingénieurs en recherche et développement, 650 brevets déposés pour 120 inventions. Et vous savez quoi? Tout ce qui est vraiment important se résume ainsi : les aspirateurs Dyson sont beau ET ils fonctionnent super bien. Le dernier-né romantiquement NOMMÉ DC05 est même devenu mon copain. Il avale tout, colle au plancher, "sucionne" les poils des tapis, ne ronronne pas trop fort, se lave en un coup de jet d'eau et, cerise sur le cheesecake, je peux le laisser trôner en déco dans le salon les jours où je décide de faire genre la fille kétrotopdesign alrs que les invités arrivent et que je n'ai pas eu le temps de le ranger. Aujourd'hui, je peux même dire que je rêve de lui offrir une compagne de jeu. Vous voyez qui? Bingo ! La machine à laver le linge Dyson au doux nom de Contrarotator, argent et mauve avec une touche de jaune pétard assorti aux roues de mn aspi… Je craque. Mon Jules itou, vu que la belle pas bête fait son cycle en 20 minutes (économie d'énergie) et qu'elle lave aussi bien que les lingères d'antan, même les pulls en cachemire que je ressors habituellement du hublot en taille 8 ans (reéconomie, cette fois-ci en coupe directe dans le budget vêtement). Essayer, c'est l'adopter ! Mais qui donc est à l'origine d'une telle métamorphose ? Qui a osé braver les codes marketing, les habitudes des consommateurs, les mentors du secteur électroménager ? Eh oui, il s'appelle James, et en plus il est aussi malin que le célèbre Q fournissant tous les accessoires de Bond. Britannique, of course. Charmant, indeed. Et l'homme d'une seule femme, la sienne. Que demande le peuple… Qu'il soit self-made-man? Qu'il se livre tout entier sans effets de manches? Voyez plutôt…

Un ingénieur mais aussi un artiste

" Quand j'était petit, je me souviens du bruit épouventable de l'aspirateur que ma mère passait chaque jour à la maison. Il n'y avait aucun engin électrique, pas de frigo, pas de lave-linge ni de télévision en cette après-guerre. Le seul signe de modernité se concentrait dans cette drôle de chose assez hideuse qui dégageait une très paradoxale odeur de vieux. Il faut croire que cela m'a marqué…" La maladie rôde aussi autour de James. Peut-être que le gamin associe les soubresauts du sac brun, cette bajoue molle qui se déride le temps d'un combat quotidien mais inégal contre la poussière, avec les sursauts de vitalité de son père, professeur de littérature ancienne, luttant sans succès contre un cancer. James a 9 ans quand il se retrouve orphelin et sa mère, professeur également, le place en pensionnat tout comme ses deux frère et sœur cadets grâce à une bourse de l'éducation nationale. Une vie familial brisée, et plus d'argent. De classe moyenne, les Dyson se retrouvent, dans une certaine mesure, pauvres. Un sacré choc ! D'autant plus que son petit frère est détecté surdoué. Par une drôle de logique, les enseignants supposent que c'est un gène familial et ils n'ont de cesse de pousser l'aîné à passer des examens quatre ans avant l'heure, comme le puîné. Toujours ratés ! "Je n'avais pas l'esprit académique. Moi, c'était plutôt 'make sens out of the mess' " ("créer à partir de rien " NDLR). Oubliés les aspirateurs, la maladie et tout ça ! Il s'agit de trouver sa place, d'exister, de sortir du lot même, s'il osait y penser ? Il ose. Il sera le seul dans son école à passer un baccalauréat artistique. "Les profs ne savaient même pas ce que c'était, un vrai ramdam dans le petit collège de Norfolk !" Mais il reçoit le soutient du directeur qui lui dit un jour, en aparté : " On est bien meux sans un chapelet de diplômes enchaînés autour de son cou." James Dyson sourit, ses yeux pétillent en se remémorant cet épisode. Long et mince, aussi dégingandé qu'un certain Paul Smith, son ami d'ailleurs, il vient d'avoir 55 ans. Visage sympathique, les cheveux out blancs mais pas une ride, jean et T-shirt, il case difficilement ses longues jambes sous la petite table ronde qui lui sert de bureau. Quatre téléphones s'y entassent qu'il n'a de cesse d'éteindre ou de raccrocher durant notre entretien. Nous sommes dans l'usine Dyson, un vaisseau de verre et d'aluminium implanté à Malmesbury (à mi-chemin entre Londres et Bristol). C'est que notre James n'a qu'une vraie passion en dehors de son travail et de sa famille : les jardins. Et ils sont rois dans la campagne profonde anglaise.

Premières inventions : un bateau et une brouette 

Ce n'est pas un hasard si sa première invention vraiment personnelle est d'ailleurs… une brouette ! Bon d'accord. Avant, il avait conçu un bateau, mais c'était du temps où il travaillait pour un industriel. Job dégotté au sortir de l'école lorsque James vient proposer à Jeremy fry (dirigeant la compagnie d'ingénierie Rotork à Bath) de financer la construction d'un stade mobile développé en dernière année du Royal College of Art de Londres."je ne vous donnerai pas d'argent, mais un travail", lui répond l'homme avisé qui reconnaît le talent du jeune ingénieur en structure, designer de mobilier et d'intérieur. James Dyson y passera cinq ans, à construire puis à vendre jusqu'à 200 unités par an d'un bateau plat révolutionnair."Le Sea Truck, super projet, mais un peu ésotérique pour le commun des mortels. Son utilisation ? le débarquement rapide de camions quasi exclusivement par les militaires ou les ONG. J'en ai assez. Je voulais utiliser mes inventions dans la vie quotidienne. Ma vie courante. Marre de renverser ma brouette quand il y avait de la boue ou des branches dans mon jardin. Alors, j'ai imaginé la Balbarrow, une brouette tout terrainà roue sphérique." Prix de la meilleure innovation du " Building Design Innovation Award". Il s'associe pour lancer la fabrication. Clash. Il finit par monter son entreprise tout seul en 1983. Bon, à quoi s'attaquer ? Un jour, James passe l'aspirateur chez lui. Une femme active, trois enfants, un bricoleur, voilà qui génère de la poussière… Et la bête noire de son enfance réapparaît sans crier gare ! James "Q" démonte l'animal et s'aperçoit, horrifié, qu'il a été le jouet d'une super arnaque. Quoi qu'on fasse, l'aspirateur n'aspire bien que durant trois secondes. Passé ce délai immanquablement, la poussière se colmate à l'entrée du sac honni ! Un aspirateur, pour qu'il soit utile à quelque chose, doit être sans sac : CQFD. 1978-1984 : six années de recherches dans son sous-sol et deux tentatives d'édition en solo puisqu'aucun éditeur d'aspirateur ne daigne s'intéresser à son projet. Madame Dyson a une patience d'ange : 5127 prototypes conçus avant le bon : le dual Cyclone G-Force… qui fait la une du magazine Design. Et voilà. Dyson enterprise est leader sur le marché des aspirateurs sans sac, un segment en progression de 47% alors que les autres chutent…

Un aspirateur révolutionnaire

Cela suscite bien des inquiétudes chez ses concurrents. De l'envie aussi. Tout un secteur de l'usine de James dépiaute les machines des compétiteurs pour mettre à jour les copieurs… Ah, ils ne voulaient pas de son invention ? Puni ! En 1997, Jonothan Ive, directeur du design chez Apple, vient rencontrer James Dyson qui lui montre son dernier modèle transparent, le DC02 clear. Un an plus tard, les I-mas translucides voient le jour. Dyson s'en félicite et … planche sur un aspirateur-robot et un nouveau système de lave-lnge. En novembre 2000, lancement du Contrarotator, la nouvelle star des lingeries. Octobre 2002, Dyson s'attaque au marché américain avec happening au Conran Shop new-yorkais. Des VIP (dont David Copperfield) s'amusent à monter leur propre aspirateur sans sac sous les flashs des paparazzi. Ca a soulevé des nuages de poussière ! Vite, James, aspirez…

Savon d'Alep Royal

Savon d'Alep Royal

Aux Huiles d'Olive et Beurre de Laurier Noble

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Classe Cosmétique, Hypoallergénique, testé sous contrôle dermatologique

C'est à Alep, ville de quatre millions d’habitants, une des plus anciennes cités du monde, qu'est né le savon. Ce savon magique venu du pays des mille et une nuits est le fruit d'une tradition artisanale plurimillénaire. Son procédé de fabrication et sa composition n'ont jamais changé.

Huile d’olive. Huile de Laurier. Eau. Soude (extrait de la Salicorne. Cinan)

Venu tout droit de Mésopotamie (Syrie), "El Melaki", rapporté pour la première fois en Occident par les croisés, est aujourd'hui le fleuron des savons naturels du monde.

Sa fabrication inchangée depuis 40 siècles nous fait remonter le temps. Dans ses chaudrons de cuivre, le savonnier "alchimise", par les mystères de la cuisson, les huiles rares : huile d'olive 2ème pression et beurre de laurier noble (huile de baies de laurier), réputées pour leurs vertus depuis la plus haute Antiquité. L'huile d'olive nourrit, adoucit la peau, dilate les pores permettant ainsi un lavage efficace en profondeur.

Il s'utilise comme shampoing (1 à 2 fois par semaine), comme masque du visage (laisser agir 1 minute puis rincer à l'eau claire), comme mousse à raser, ...

Dans votre salle de bain "El Melaki" vous surprendra par son extrême douceur naturelle et par sa longévité, car, sur les toits des caravansérails d'Alep, il fut exposé neuf mois au soleil, où il acquit sa dureté légendaire.

"El Melaki" ne contient aucun produit de synthèse, aucun colorant, aucun fixateur de parfum, aucun dérivé de graisse animale. Il est totalement biodégradable.

"El Melaki" est l'allié idéal de la toilette pour les personnes soucieuses d'entretenir et protéger leur peau, organe sensible et combien délicat, adultes et enfants.

"LA VIE SE VIT A FLEUR DE PEAU"

"El Melaki" est distribué pour vous par la Droguerie Montoise dans sa version « Royale » en savon forme cube de 190 grammes et savonnettes 125 grammes minimum.

INCI : olea europea - sodium hydroxyde - aqua laurus nobilis

Le cuir bien dans sa peau

Le cuir bien dans sa peau. 

Résistant, confortable et esthétique, le cuir est la matière noble par excellence. Rien d’étonnant à ce que ce matériau aît traversé les âges et les modes, s’affirmant au fil des millénaires comme le meilleur ami de l’homme en terme de bien-être. D’ailleurs, de nos vêtements et chaussures à l’intérieur de nos voitures, et de plus en plus fréquemment à l’intérieur de nos maisons, le cuir est omniprésent dans notre vie.

Un savoir-faire millénaire. 

Ce lien privilégié qui nous unit au cuir provient sans doute du fait que c’est l’un des matériaux les plus anciens utilisés par l’homme : Il est établi que, 70000 ans avant notre ère, il utilisait les peaux de ses proies afin de s’abriter des intempéries. Cela étant, la méthode était rudimentaire, et les peaux pourrissaient rapidement. Avec le temps, les hommes améliorèrent la conservation des peaux, mais le procédé était encore basique, et les résultats peu convaincants. Jusqu’à ce qu’un jour, il y a 4300 ans, un berger du Sinaï, ne découvre fortuitement le principe du tannage : ayant malencontreusement laissé tomber une peau de chèvre salée dans un creux de rocher rempli d’eau, il la récupéra, la fit sécher, et prit conscience que la présence de sels empêchait la décoloration et le pourrissement. Depuis, les techniques de conservation et d’affinage des peaux n’ont cessé de s’améliorer. Mais le principe de base est demeuré identique, de même que les qualités de résistance et de beauté qui font du cuir une matière unanimement appréciée.  

De la peau au cuir.

Comme on le sait, le cuir est issu d’une peau animale. Mais avant de devenir l’objet dont nous rêvons, celle-ci devra subir plusieurs traitements visant à la protéger, et à lui offrir diverses caratéristiques, selon l’usage auquel on la destine : imperméabilité, souplesse ou rigidité, texture et coloration. Ainsi, la peau brute est d’abord conservée, le plus souvent par salage. Lorsqu’elle doit être exploitée, elle est soumise à plusieurs opérations préliminaires : l’écharnage, qui élimine le tissu sous-cutané, puis le pelanage, le confitage et le picklage, qui assouplissent la peau et permettent une bonne pénétration des agents tannants. Vient ensuite le travail de rivière, c’est-à-dire l’élimination de l’épiderme et du poil, assortie d’un trempage qui permet d’éliminer les souillures superficielles et les sels de conservation. Après ces traitements, il ne reste plus que le derme, appelé alors “peau en tripe”. Après avoir subi un déchaulage, c’est-à-dire un traitement à l’acide ou aux sels permettant d’éliminer les substances alcalines, la peau passe ensuite au tannage. Il s’agit d’un traitement chimique adapté à la qualité de cuir souhaitée, à l’issue

duquel la peau est devenue “peau en croûte”. Cette dernière nécessite encore un traitement : le corroyage, qui comprend trois étapes (nourriture, teinture et finissage ). Ensuite, elle sera mise en forme selon son usage, puis proposée au public.

“fleur”, “pleine peau”? 

Voici donc notre article en cuir présenté dans un magasin. Le client n’a plus qu’à le choisir. C’est simple. Simple? Pas si sûr : pour le profane, les mentions figurant sur un meuble ou un article en cuir, ainsi que les assertions du vendeur peuvent relever du rébus… Alors voici quelques clés simples : tout d’abord, il convient de préciser que la peau a deux faces: le côté chair et le coté poil. C’est ce dernier que l’on appelle la “fleur”. Ensuite, la qualité du cuir dépend beaucoup de celle de la peau. Ainsi, une peau est “pleine” ou “creuse”, selon que sa texture est ferme ou lâche. De même, elle sera “ronde” si son centre est plus épais que ses bords. Autrement, on la qualifiera de “plate”. Par ailleurs, il peut arriver que le cuir présente des défauts. Ceux-ci sont le plus souvent dûs à des parasites, à des blessures ou des marquages au fer chaud. Il peut cependant arriver également que ces traces soient le résultat d’une mauvaise conservation. 

Des utilisations variées. 

                             

Selon l’animal ayant fourni la peau, le cuir développera donc des qualités propres. Ainsi, à titre d’exemple, les peaux de reptiles et de poissons sont appréciées en maroquinerie, tandis que les vêtements sont de préférence confectionnés avec des peaux de mouton et de chevreau. Le veau, le mouton, la chèvre ( ou l’antilope ), le porc ou le phoque fourniront des cuirs très résistants, parfaitement adaptés à la confection dechaussures. En revanche, l’industrie gantière, utilisera exclusivement des matières extrémement fines, telles que le chevreau, l’agneau, le mouton, le daim, et aussi l’antilope. Quant aux peaux de boeuf, de vachette, de veau ou de buffle, elles seront le plus couramment exploitées par des bourreliers, ou par des fabricants d’ameublement. 

Attention, fragile ! 

A l’image du bois, le cuir est une matière vivante. C’est d’ailleurs une des caractéristiques qui lui confèrent sa noblesse. Mais comme tout ce qui respire, il risque de s’asphyxier… De même, comme tout ce qui est vivant, il peut subir les outrages du temps : il peut s’encrasser, ternir. Il peut même parfois pâtir des maladresses de ses propriétaires. Il convient donc de garder à l’esprit que, malgré sa robustesse, le cuir peut s’avérer relativement fragile. 

Pour éviter qu’un meuble en cuir ne vieillisse prématurément, et pour lui assurer une bonne santé, il suffit de prendre quelques précautions. En effet, un cuir de qualité dure très longtemps pour peu qu’il soit traité avec un minimum d’égards. Ainsi, il faut éviter d’installer votre meuble en cuir près d’une source de chaleur ou d’un mur humide. De même, la forte lumière ( soleil, lune, lampes halogènes ) le décolorera. En outre, il craint les solvants ( trichlo, essence, alcool … ), le sébum des cheveux, la transpiration… 

Par ailleurs, un canapé subissant un usage intensif risque de voir son cuir se durcir, peut-être même se craqueler! 

Quant au cuir qui n’est pas nettoyé régulièrement, il s’encrassera très vite.

Gare aux taches et rayures ! 

Bien sûr, les marques naturelles, les griffes, les cicatrices ou les variations de teinte qui apparaissent comme autant de légers défauts, peuvent souligner l’authenticité de votre meuble en cuir, et lui confèrer un charme supplémentaire. 

 Il en ira tout autrement, c’est certain, si votre animal préféré a choisi de se faire les griffes sur la croûte pleine fleur de votre secrétaire, ou si bébé a soudain décidé de redécorer votre canapé pur buffle à l’aide d’un agressif stylo-bille! 

Bien évidemment, un meuble, fût-il en cuir, est fait pour être utilisé et il serait quand même dommage de le laisser s’asphyxier sous des draps de protection! 

En se montrant un minimum attentif, on parvient aisément à éviter nombre d’accidents… Et pour ceux qui sont inévitables, pas de panique! Il existe toujours des solutions.

Saphir habille éternellement le beau !

Depuis plus d'un siècle déjà, notre Marque sélectionnée s'est ouvert la voie de la qualité de ses produits et de ses services.

Reconnue depuis 1925, date à laquelle elle reçut la médaille d'or pour son savoir faire et la spécificité de ses formulations, SAPHIR a su développer une offre complète, et, à ce jour, inégalée.

Notre Marque s'est toujours fixée pour objectif principal, la satisfaction optimale des professionnels les plus exigeants dans le domaine du cuir et de la maroquinerie.

Le choix des matières premières (toujours naturelles) telles que :

essence de térébenthine, cire d'abeille, cire de Carnauba, huile de vison, de pied de bœuf, de phoque, a toujours été une volonté guidée non par leur prix mais pour la qualité requise dans la préparation, l’entretien et l’embellissement des cuirs et de leur environnement.

Exclusivement conçues pour les réseaux traditionnels de distribution, les produits portant notre Marque sont un gage de bon choix, de caractère et d'efficacité.

Nos établissements vous sont ouverts pour que vous puissiez constater l'esprit qui nous anime.

Anti-mousses

Après cet hiver, les mousses, algues et lichen ont envahi toitures, terrasses, façades et allées pavées ... Il était temps de faire une mise au point sur le lavage des surfaces et l’élimination de ces micro-organismes.

Méthode :

Pour les façades et les surfaces solides, le meilleur résultat sera obtenu en lavant au nettoyeur haute pression avant pulvérisation par temps sec d’un produit de traitement Algicide ou Fongicide. Deux modèles équipés d'une buse rotative sont en location à la Droguerie Montoise. Le rinçage se fait naturellement par les eaux de pluie...

Avant une éventuelle mise en peinture, un rinçage à l’eau claire ou les eaux de pluie, après une semaine d’action du produit,  est formellement conseillé.

Les toits :

Une grande prudence est nécessaire au traitement des toits car ils sont plus ou moins solides selon leur nature (tuiles / ardoises). Dans le cas d’un nettoyage à haute pression, il est indispensable de nettoyer avec le jet dans le sens d’écoulement des eaux de pluie. Une autre précaution et, pas la moindre, réside dans l’accès et le risque de chute, alors prudence ! Une action chimique par pulvérisation renouvelée une seconde fois est souvent plus prudente !

Les produits :

L’anti-mousse Ecogène :

1 litre pour 50 m2 (formulation concentrée) destruction totale et rapide (quelques jours) des mousses, lichens, algues, champignons et moisissures sur tous matériaux et toutes surfaces (terrasses, toitures, murs, tennis, escaliers ...) Doublé d’un pouvoir détergent, son action de longue durée est aussi bien préventive que curative.

Le bidon de 2 litres (formulation plus concentrée) permet de traiter 150 m2. 

PYROX AC (LE CONSEIL PRO DE LA DROGUERIE MONTOISE) :

5 litres font  50 litres de produit actif  pouvant traiter plus de 500  m2. et 20 litres font  200 litres de produit actif  pouvant traiter plus de 2000 m2.

Les Ammoniums quaternaires (sporicides et fongicides) sont des composés halogènes. Ils empêchent la croissance de ces plantes des embranchements des Bryophytes et des thallophytes qui meurent ainsi par asphyxie. Par la présence du tensio actif non ionique, les éléments vivants se décollent rapidement sur tous les supports. Les qualités de PYROX AC lui confèrent par son exceptionnel pouvoir mouillant une infiltration complète dans les moindres interstices des matériaux. Il s’applique sur les supports suivants : tuiles, ardoises, briques, béton, pierres, bois traité, matériaux composites (coques de bateaux ...). Son action est curative et préventive.

PYROX AC est notre conseil car de loin le plus performant et économique du marché professionnel : nous le proposons en effet en promotion au prix de 32,00 € T.T.C. les  500 m2 et 79,00 € T.T.C. les 2000 m2 traités !

La Dose Fongicide BT84 (AKKZO) :

C’est un additif fongicide / insecticide / anti-moisissures puissant à ajouter dans nos peintures de ravalement CORONA Bâtiment (Corolith et Coracryl) et la peinture La Montoise (acrylique mate, satinée et pliolite)... Vous pouvez ainsi être absolument sûr que la peinture que vous appliquez est réellement anti-mousse !!!

Le fongicide BT84 est le garant d’une bonne tenue de vos peintures dans la durée.

Le cas particulier de l’eau de javel :

Pour un lavage anti-mousses, le réflexe le plus courant est l’utilisation de javel plus ou moins concentrée (36° maximum) soit 9° de chlore actif selon la directive de la communauté économique européenne visant à protéger les personnes et l'environnement. Elle est vendue en dilution à 36° dans des fûts économiques de 25 kilogrammes, des cruchons rigides 250 ml ou des doses souples “berlingots’ 250 ml. Elle est vendue en dilution 9° soit 2,6° de chlore actif dans des bouteilles d’un ou  deux litres.

Il faut savoir que l’action anti-mousses des produits chlorés, visible immédiatement, est très courte et non préventive. De plus, le Chlore par son pouvoir corrosif attaque et fragilise les supports traités, accélérant le retour et la fixation des éléments organiques ... Plus on élimine la mousse avec de la Javel et plus elle revient vite, devenant une activité répétitive, ou du moins annuelle.

L’eau de javel ne doit être utilisée que rarement et pour des problèmes particuliers. Elle permet une mise en peinture très rapide dès le lendemain, mais ne remplacera jamais l'action préventive des antimousses ; elle doit être considérée comme complémentaire.

En conclusion, un bon nettoyage annuel et la pulvérisation d’un produit traitant algicide (tous les ans ou deux ans selon les cas) suffisent à garantir une bonne conservation et un aspect parfait à votre patrimoine immobilier tout en préservant peinture et surfaces naturelles. L’écogène sera choisi par ceux qui ne nettoient qu’un élément précis, une petite surface... Le PYROX AC, notre coup de cœur, satisfera tous les autres, particuliers et professionnels !